Angoisse dans le silence des lieux
Comme mieux qui puisse cieux
Ce vieux monte des pieux
Gibet verluisant couleur sang
Sans saveur douleur acquise l’an
Empire ampleur douceur pan
Peter danse dans le ciel bleu
Moi je me chante comme deux
Blaireaux ivrognes comateux
Désespoir de l’enfoui dans le désert désir
Ire des autres tue l’enfer du pire
Mince alors, fin d’empire
Territoires perdues minces révoltes
Exultes terribles virevoltent
Oripeaux qui sonnent les colts
Balles perdues enfouies murées
Caniveaux miteux senteur urée
Odeurs sombrent sans limite durée.
Temps fuit marche forcée
Qui sait ce que c’est ?
Arborant sourires, grimacée.
Visage lugubre teint morne
Délires tentacules ornent
Des lits, limites, qui se bornent
Routes enneigées été hiver,
Dans les aires de l’air divers,
Je m’en retourne à l’envers.
Endroits soudains furtifs vifs
Luisants ténébreux sombres ifs
Dents acérés lagunes bleues combatifs.
Force las porter lunes vierges
Éteignants lustres et cierges
Je ne sais où vont les verges.
Queues leu leu quête quequette.
Délires douces pet pépettes,
Lumineuses éphémères pâquerettes.